Travail de fin d'études[BR]- Travail de fin d'études: "Écofascisme : entre militantisme écologique et extrême droite. Étude sur la présence de marqueurs écofascistes chez les 18-25 ans en regard des variables l'influençant."[BR]- Séminaire d'accompagnement à l'écriture
Mignot, Madeleine
Promotor(s) :
Dantinne, Michaël
Date of defense : 27-Jun-2025 • Permalink : http://hdl.handle.net/2268.2/23743
Details
| Title : | Travail de fin d'études[BR]- Travail de fin d'études: "Écofascisme : entre militantisme écologique et extrême droite. Étude sur la présence de marqueurs écofascistes chez les 18-25 ans en regard des variables l'influençant."[BR]- Séminaire d'accompagnement à l'écriture |
| Translated title : | [en] Ecofascism: between environmental activism and the far right. A study on the presence of ecofascist markers among 18 to 25 year-olds in relation to the variables that influence them. |
| Author : | Mignot, Madeleine
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| Date of defense : | 27-Jun-2025 |
| Advisor(s) : | Dantinne, Michaël
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| Committee's member(s) : | Geonet, Norman
Gangi, Océane
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| Language : | French |
| Discipline(s) : | Law, criminology & political science > Criminology |
| Institution(s) : | Université de Liège, Liège, Belgique |
| Degree: | Master en criminologie à finalité spécialisée en organisations criminelles et analyse du crime |
| Faculty: | Master thesis of the Faculté de Droit, de Science Politique et de Criminologie |
Abstract
[fr] L’écofascisme, dont les origines sont loin d’être récentes, est un phénomène d’actualité dont il semble encore difficile d’appréhender la complexité et la multi-dimensionnalité. En effet, la fusillade de Christchurch en 2019 a soulevé de nouvelles inquiétudes quant à une menace hybride alliant suprémacisme blanc et militantisme écologique. L’objectif de cette recherche est de révéler les variables ayant une influence sur la présence de marqueurs écofascistes chez les jeunes de 18-25 ans. Pour ce faire, une méthodologie quantitative a été choisie, avec la diffusion d’un questionnaire auprès d’un échantillon de jeunes français et belges de cette tranche d’âge. La présence de marqueurs écofascistes (variable dépendante, VD) des répondants a été mesurée en regard de six variables distinctes (variables indépendantes, VI) : le genre, le niveau d’étude, le mode d’information, l’engagement climatique, l’éco- anxiété et les attitudes favorables à la violence. Ce faisant, les résultats de cette étude montrent une corrélation modérée à forte entre notre VD et le genre, le niveau d’étude, le mode d’information et les attitudes favorables à la violence. A l’inverse, notre recherche n’a pas montré de corrélation entre notre VD et l’engagement climatique ou l’éco-anxiété. Cette étude permet non seulement de révéler la présence de marqueurs écofascistes au sein de notre échantillon, mais aussi de montrer l’influence de certains facteurs sur cette présence, ce qui peut réinterroger la particularité hybride de cet extrémisme.
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