Travail de fin d'études : [i]Profits exorbitants : mythe ou réalité ?[/i] Une analyse microéconomique de trois sociétés belges entre 2007 et 2023. Étude du montant, de l'origine et du partage des profits de Colruyt, Solvay et UCB [UNI=2013] sociétés mères [UNI=2013] au regard de la valeur ajoutée et de sa répartition entre les facteurs de production
Hugo, Garance
Promoteur(s) :
Geuens, Geoffrey
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Geerkens, Eric
Date de soutenance : 26-aoû-2025/4-sep-2025 • URL permanente : http://hdl.handle.net/2268.2/24508
Détails
| Titre : | Travail de fin d'études : [i]Profits exorbitants : mythe ou réalité ?[/i] Une analyse microéconomique de trois sociétés belges entre 2007 et 2023. Étude du montant, de l'origine et du partage des profits de Colruyt, Solvay et UCB [UNI=2013] sociétés mères [UNI=2013] au regard de la valeur ajoutée et de sa répartition entre les facteurs de production |
| Auteur : | Hugo, Garance
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| Date de soutenance : | 26-aoû-2025/4-sep-2025 |
| Promoteur(s) : | Geuens, Geoffrey
Geerkens, Eric
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| Membre(s) du jury : | Gyory, Michel
Leloup, David
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| Langue : | Français |
| Discipline(s) : | Sciences économiques & de gestion > Multidisciplinaire, généralités & autres |
| Institution(s) : | Université de Liège, Liège, Belgique |
| Diplôme : | Master en journalisme, à finalité spécialisée en investigation multimédia |
| Faculté : | Mémoires de la Faculté de Philosophie et Lettres |
Résumé
[fr] La présente étude propose un plongeon dans les comptes annuels (sociaux) de trois
sociétés belges cotées, à la tête de grands groupes internationaux : Colruyt SA, Solvay SA et
UCB SA. Une analyse microéconomique de l’évolution des profits réalisés annuellement entre
2007 et 2023 – des profits, pour une part, conservés dans l’entreprise ; pour une autre, distribués
aux actionnaires (ou autres ayants droit).
Mais l’étude des profits (leur montant, origine, répartition) et de leur caractère potentiellement
exorbitant ne peut faire l’économie d’une étude élargie sur le partage de la richesse. Ce partage
concerne celles et ceux qui, par leur travail ou leur capital, participent à l’exploitation – cela
inclut également les pouvoirs publics. Ce sont les facteurs de production. Peut-on, au regard de la rémunération des travailleur∙ses, du coût de la dette et de la contribution
fiscale des entreprises, qualifier les profits des entreprises et de leurs actionnaires d’exorbitants ? Ou bien le partage de la richesse est-il équitable ?
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