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Faculté de Psychologie, Logopédie et Sciences de l’Education
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Mémoire
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Rôle de la morphologie dérivationnelle dans la reconnaissance des mots parlés chez les enfants dysphasiques

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Badohoun, Audrey ULiège
Promoteur(s) : Maillart, Christelle ULiège
Date de soutenance : 6-sep-2013 • URL permanente : http://hdl.handle.net/2268.2/263
Détails
Titre : [fr] Rôle de la morphologie dérivationnelle dans la reconnaissance des mots parlés chez les enfants dysphasiques
Auteur : Badohoun, Audrey ULiège
Date de soutenance  : 6-sep-2013
Promoteur(s) : Maillart, Christelle ULiège
Membre(s) du jury : Binamé, Florence ULiège
Sougné, Jacques ULiège
Langue : Français
Nombre de pages : 86
Mots-clé(s) Rameau : Troubles du langage -- Chez l'enfant
Reconnaissance des mots
Discipline(s) : Sciences sociales & comportementales, psychologie > Psychologie cognitive & théorique
Sciences sociales & comportementales, psychologie > Traitement & psychologie clinique
Commentaire : 15 annexes
Institution(s) : Université de Liège, Liège, Belgique
Diplôme : Master en logopédie, à finalité spécialisée en communication et handicap
Faculté : Mémoires de la Faculté de Psychologie, Logopédie et Sciences de l’Education

Résumé

[fr] Cette étude a pour objectif de déterminer si la reconnaissance des mots parlés chez les enfants dysphasiques est influencée par la présence de morphèmes dans les mots. A cette fin, 51 enfants ont été sélectionnés. Les enfants étaient répartis en 3 groupes. Il s’agissait d’un groupe d’enfants dysphasiques et de 2 groupes d’enfants contrôle, l’un apparié en âge chronologique et l’autre apparié en âge lexical aux enfants dysphasiques. La tâche expérimentale consistait en un paradigme d’amorçage associé à une tâche go-no go. Chaque paire de mots partageait ou non un lien morphologique (chasseur/chasser), de pseudo-dérivation (bougie/bouger) sémantique (piano/guitare), ou phonologique (limace/limer). Les résultats ont été analysés à partir du nombre d’erreurs et des temps de réaction. Au niveau du nombre d’erreurs, aucun effet d’amorçage n’est à relever pour les trois groupes. Quant aux temps de réaction, nous constatons un effet d’amorçage morphologique chez les groupes contrôles. Aucun amorçage n’est observé chez les enfants dysphasiques, suggérant que, pour eux, la présence de morphèmes n’influence pas la reconnaissance des mots parlés. Les résultats seront discutés en s’appuyant sur la théorie du mapping. (Chiat, 2001).


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Access s083551Badohoun2013.pdf
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Taille: 1.35 MB
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Auteur

  • Badohoun, Audrey ULiège Université de Liège - ULg > 2e an. master logo., fin. spéc. lang. or. & handic.

Promoteur(s)

Membre(s) du jury

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