L’articulation entre un modèle de stress et un modèle spécifique à la sécurité sur les comportements de sécurité dans une entreprise chimique.
Ghislain, Emilie
Promoteur(s) : Hansez, Isabelle
Date de soutenance : 7-sep-2012 • URL permanente : http://hdl.handle.net/2268.2/443
Détails
Titre : | [fr] L’articulation entre un modèle de stress et un modèle spécifique à la sécurité sur les comportements de sécurité dans une entreprise chimique. |
Auteur : | Ghislain, Emilie |
Date de soutenance : | 7-sep-2012 |
Promoteur(s) : | Hansez, Isabelle |
Membre(s) du jury : | Schippers, Nathalie
Daele, Laurence |
Langue : | Français |
Nombre de pages : | 97 |
Mots-clé(s) Rameau : | Industries chimiques Sécurité du travail Mesures de sécurité Risques professionnels Dispositifs de sécurité Prise de risque Professions dangereuses |
Discipline(s) : | Sciences sociales & comportementales, psychologie > Psychologie sociale, industrielle & organisationnelle |
Commentaire : | 2 annexes |
Institution(s) : | Université de Liège, Liège, Belgique |
Diplôme : | Master en sciences psychologiques, à finalité spécialisée en psychologie sociale, du travail et des organisations |
Faculté : | Mémoires de la Faculté de Psychologie, Logopédie et Sciences de l’Education |
Résumé
[fr] De plus en plus d’auteurs essaient d’étendre le modèle des ressources et exigences au travail (Job Demands-Resources) à la sécurité au travail. Dans la même lignée que ces différents travaux, cette étude a pour objectif d’analyser l’influence de certains aspects de la sécurité lorsque ceux-ci sont intégrés à un modèle de stress au travail. Nous nous sommes focalisés sur certaines parties de la sécurité, en l’occurrence les comportements de sécurité (les violations routinières et situationnelles), l’implication perçue du management envers la sécurité, et la définition par le travailleur des comportements de citoyenneté vis-à-vis de la sécurité dans son propre rôle. Un questionnaire a été distribué pour l'analyse de ces différents aspects au sein d'une entreprise chimique (Prayon) qui compte environs 800 travailleurs. Le modèle à partir duquel nous avons posé nos hypothèses a été préalablement étudié par Chmiel et Hansez (submitted). Ce dernier est composé de 6 variables : le contrôle au travail, l’implication perçue du management envers la sécurité, la définition par le travailleur de peu de comportements de citoyenneté vis-à-vis de la sécurité dans son propre rôle, l’engagement au travail, peu de violations situationnelles et les violations routinières. Parmi les hypothèses, nous avons entre autres « L’implication perçue du management envers la sécurité est liée aux violations routinières » , ou encore « Le contrôle au travail est lié à l’engagement au travail ». Après l’analyse des différentes hypothèses, nous discutons de l’apport de cette étude, réfléchissons sur l’apport pratique de ces découvertes et portons un regard critique sur ce travail dans le cadre de recherches futures.
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