La dimension sonore du projet d'architecture : Application à l'espace public de la gare des Guillemins à Liège.
Canteri, Claire
Promotor(s) : Skok, Adolf
Date of defense : 29-May-2018/16-Jun-2018 • Permalink : http://hdl.handle.net/2268.2/5012
Details
Title : | La dimension sonore du projet d'architecture : Application à l'espace public de la gare des Guillemins à Liège. |
Author : | Canteri, Claire |
Date of defense : | 29-May-2018/16-Jun-2018 |
Advisor(s) : | Skok, Adolf |
Committee's member(s) : | Michaux, Henriette
Schmitz, Dimitri Dal, Jean-Yves |
Language : | French |
Discipline(s) : | Engineering, computing & technology > Architecture |
Institution(s) : | Université de Liège, Liège, Belgique |
Degree: | Master en architecture, à finalité spécialisée en art de bâtir et urbanisme |
Faculty: | Master thesis of the Faculté d'Architecture |
Abstract
[fr] L’architecture intègre de multiples disciplines dans le but de créer des projets complets et bien pensés, mais le sont-ils vraiment tous ? La dimension sonore semble pourtant peu travaillée dans le projet architectural, l’architecte n’a pas toujours bien conscience de la qualité sonore générée par un bâtiment qu’il conçoit. En effet, cette dimension est souvent réduite à des critères réglementaires qui ne servent qu’à étouffer les « bruits » de manière générale. Un espace mis aux normes acoustiques n’est pas forcément synonyme d’un espace confortable, il serait préférable de penser à des infrastructures adaptées aux fonctions à partir d’une analyse plus spécifique de l’espace. Mais l’architecte manque d’exemples et d’outils d’évaluation, les projets d’architecture semblent toujours pauvres en qualité sonore...
C’est à travers l’espace public de la gare des Guillemins que ce travail de fin d’études propose quelques méthodes de compréhension et d’analyses sonores. Des exemples concrets ainsi que plusieurs solutions d’amélioration de la qualité sonore de l’espace ferroviaire des Guillemins seront proposés. De plus, en tant que future architecte et ancienne musicienne, la mise en relation de la dimension sonore avec le projet d’architecture me semble justifiée et permettra une méthode de travail pluridisciplinaire, dont une pratique musicale personnelle, tout en restant le plus objectif possible.
Dans une vision architecturale à une échelle plus vaste, grâce à la récolte d’informations sonores et à la désignation de composantes correspondant à l’attente des usagers mais aussi des décideurs locaux, il serait intéressant de pouvoir constituer des plans à court et long termes qui seraient complémentaires aux démarches répondant aux normes acoustiques européennes. Ainsi, nous pourrions suggérer une méthode à suivre pour les concepteurs et les collectivités locales gérant des situations sonores urbaines.
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