Meunier, Aurélia
Promoteur(s) : Maillart, Christelle
Date de soutenance : 3-sep-2013 • URL permanente : http://hdl.handle.net/2268.2/613
Détails
Titre : | [fr] Etude de l’apprentissage de mots nouveaux chez des enfants dysphasiques |
Auteur : | Meunier, Aurélia |
Date de soutenance : | 3-sep-2013 |
Promoteur(s) : | Maillart, Christelle |
Membre(s) du jury : | Binamé, Florence
Parisse, Christophe |
Langue : | Français |
Nombre de pages : | 129 |
Mots-clé(s) Rameau : | Troubles du langage -- Chez l'enfant Lecture -- Développement des capacités Langage -- Compréhension Reconnaissance des mots |
Discipline(s) : | Sciences sociales & comportementales, psychologie > Psychologie cognitive & théorique Sciences sociales & comportementales, psychologie > Traitement & psychologie clinique |
Commentaire : | 1 annexe |
Institution(s) : | Université de Liège, Liège, Belgique |
Diplôme : | Master en logopédie, à finalité spécialisée en neuropsychologie du langage et troubles des apprentissages verbaux |
Faculté : | Mémoires de la Faculté de Psychologie, Logopédie et Sciences de l’Education |
Résumé
[fr] La dysphasie est un trouble primaire du langage, dans les sphères expressive ou expressive et réceptive. De nombreux auteurs ont établi des difficultés à l’apprentissage de nouveaux mots chez les enfants dysphasiques. Notre volonté ici est d’évaluer l’hypothèse d’une limitation dans l’apprentissage d’éléments rares en manipulant la fréquence d’expositions des items à retenir. Pour cela, une tâche expérimentale a été conçue, dans laquelle nous faisons varier la fréquence lexicale de six non-mots (haute fréquence lexicale vs basse fréquence lexicale). Nous testons cet apprentissage à long terme, soit une semaine après la passation initiale de la tâche, afin d’évaluer la rétention de l’apprentissage. Les performances des enfants ont été mesurées en réception, par une tâche de désignation et en production, par une tâche de dénomination. Ainsi, dans les deux versants, nous nous attendions à des performances significativement inférieures de la part des enfants dysphasiques pour les items fréquents et encore plus pour les items rares en comparaison avec celles des enfants contrôles. Les résultats obtenus nous permettent d’attester de la limitation dans l’apprentissage d’éléments rares chez les enfants dysphasiques en production uniquement, validant en partie notre hypothèse. En effet, ce même constat n’a pas lieu pour le versant réceptif. Quant à la rétention, les résultats indiquent que nous ne pouvons corroborer l’hypothèse concernée et ainsi conclure à une moins bonne rétention de l’apprentissage à long terme.
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