Etude de la relation entre les parasites coccidies du Takahē (Emeria sp.) et le Takahē (Porphyrio hochstetteri) afin d'améliorer le management du parasite dans le cadre du projet de conservation et de renforcement de l'espèce du Takahē en Nouvelle-Zélande.
Kiss, Servane
Promotor(s) : Sérusiaux, Emmanuël ; Magain, Nicolas
Date of defense : 6-Sep-2019 • Permalink : http://hdl.handle.net/2268.2/7444
Details
Title : | Etude de la relation entre les parasites coccidies du Takahē (Emeria sp.) et le Takahē (Porphyrio hochstetteri) afin d'améliorer le management du parasite dans le cadre du projet de conservation et de renforcement de l'espèce du Takahē en Nouvelle-Zélande. |
Author : | Kiss, Servane |
Date of defense : | 6-Sep-2019 |
Advisor(s) : | Sérusiaux, Emmanuël
Magain, Nicolas |
Committee's member(s) : | Pigneur, Lise-Marie
Michaux, Johan Greaves, Glen |
Language : | French |
Number of pages : | 33 |
Keywords : | [fr] Conservation Takahé Parasite Coccidie Eimeria.sp |
Discipline(s) : | Life sciences > Environmental sciences & ecology |
Funders : | Department of Conservation |
Research unit : | Department of Conservation |
Institution(s) : | Université de Liège, Liège, Belgique |
Degree: | Master en biologie des organismes et écologie, à finalité spécialisée en biologie de la conservation : biodiversité et gestion |
Faculty: | Master thesis of the Faculté des Sciences |
Abstract
[fr] Le Takahē (Porphyrio hochstetteri) est une espèce d’oiseaux menacé endémique de Nouvelle -Zélande qui ne peut pas voler. Autrefois pensé éteinte (1930), elle fait aujourd’hui parti d’un programme de conservation. Ce programme prend à compte de nombreux secteurs dont le suivi des maladies infectieuses. Les coccidies chez les takahēs (Eimeria sp) ont été observer pour la première fois dans les années 80 et sont encore aujourd’hui très peu connu. Megan Jolly est la première à l’avoir décrite en 2018 par le biais des oocystes sporulés. Ainsi on connait peu de choses quant à la relation hôte-parasite. L’analyse du suivi coprologique durant 6 mois a permit de déterminer qu’il y a une diminution du nombre d’oocyste par gramme (opg) de l’été à l’hiver. Les tests ont aussi révélé qu’il y avait un taux de parasitisme plus fort chez les femelles et au stade de juvénile, respectivement par rapport au individus mâle et les deux autres classes d’âge (subadulte et adulte). Les comparaisons des différents enclos ainsi que l’origine d’éclosion n’ont pas donné de résultats significatifs. Puis le suivi journalier réaliser sur 35 jours a permis de constater que la ponte des oocystes par les coccidies dans les fèces ne suit aucune tendance (pas de cycle). Puis, en vue de l’intégrer au protocole de gestion des coccidioses, un complément alimentaire anticoccidien a été testé mais celui-ci ne s’est pas révélé efficace.
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