Quelles sont les raisons qui poussent les demandeurs d'emploi de 45 ans et plus à suivre une formation ?
Smekens, Céline
Promoteur(s) :
Poumay, Marianne
Date de soutenance : 2-sep-2019/10-sep-2019 • URL permanente : http://hdl.handle.net/2268.2/7673
Détails
Titre : | Quelles sont les raisons qui poussent les demandeurs d'emploi de 45 ans et plus à suivre une formation ? |
Auteur : | Smekens, Céline ![]() |
Date de soutenance : | 2-sep-2019/10-sep-2019 |
Promoteur(s) : | Poumay, Marianne ![]() |
Membre(s) du jury : | Fossion, Gilles ![]() Dupont, Bernard |
Langue : | Français |
Discipline(s) : | Sciences sociales & comportementales, psychologie > Education & enseignement |
Institution(s) : | Université de Liège, Liège, Belgique |
Diplôme : | Master en sciences de l'éducation, à finalité spécialisée en formation des adultes |
Faculté : | Mémoires de la Faculté de Psychologie, Logopédie et Sciences de l’Education |
Résumé
[fr] L’âge de la retraite en Belgique est aujourd’hui de 65 ans. D’ici 2030, l’âge passera à 67 ans. Légalement, on est déjà considéré comme « travailleur âgé » à 45 ans. Et pourtant, on ne serait qu’à la moitié de sa carrière professionnelle. Trouver un emploi lorsqu’on a plus de 45 ans n’est pas facile. En effet, de nombreux stéréotypes circulent autour des travailleurs âgés : ils sont peu flexibles, souvent malades, ils ne savent pas utiliser les nouvelles technologies, etc. L’ensemble de ces croyances entraine une discrimination à l’embauche. Les travailleurs âgés, parfois peu formés, se retrouvent sans emploi pendant un long moment. Quelles solutions leur restent-ils ? Et si la formation était la solution à leurs difficultés ? Encore faut-il que ces formations leur soient accessibles.
En plus de porter la casquette du « travailleur âgé » qui coûte plus cher à l’embauche qu’un jeune qui sort de l’école, notre public cible dispose d’un autre stigmate : celui de demandeur d’emploi. Il cumule ainsi deux caractéristiques potentiellement discriminantes. Comment le vivent-ils ? Et comment cette discrimination se traduit-elle dans leur quotidien ?
Et puis finalement, pourquoi se forment-ils ? Quel type de formation suivent-ils ? Et pourquoi le font-ils ? Quel est leur objectif ? Cherchent-ils à changer d’orientation professionnelle, ou veulent-ils échapper aux convocations du Forem ?
Grâce à une étude de cas réalisée auprès de dix personnes (hommes et femmes), demandeurs d’emploi et âgés de plus de 45 ans, habitant la région liégeoise, et grâce à des entretiens de type « récits de vie », nous allons tenter de répondre à la question : « Qu’est-ce qui motive ces individus à se former ? » Sur base du modèle des motifs d’engagement de Carré (2000), nous dresserons la liste des motivations évoquées par nos dix participants.
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