Le projet de la Ligne Nouvelle Paris-Normandie : Convergences et divergences entre les acteurs territoriaux, à l'échelle de la vallée de la Seine et de la métropole rouennaise

Abstract

L’architecte urbaniste Antoine Grumbach propose lors d’une consultation propose de connecter Paris à sa façade maritime, Le Havre. Il envisage une connexion par voie ferrée, le long de la vallée de la Seine. La réalisation de la ligne Nouvelle Paris Normandie permet d’organiser le territoire autrement. La globalisation de l’économie et l’augmentation des échanges internationaux sont à l’origine de cette proposition. Cette connexion multiplie les enjeux d’acteurs de ce territoire. Dans cette optique, ce travail de fin d’études se focalise donc sur l’implantation d’une infrastructure ferroviaire le long de la vallée de la Seine entre Paris et Le Havre, créatrice de multiple discussion entre acteurs. Dans un premier temps, l’objectif est de comprendre le type d’infrastructure qu’est la Ligne Nouvelle Paris Normandie. Cette étape nous permet de comprendre les enjeux l’influence d’une telle implantation. Dans un second temps, nous localiserons la vallée de la Seine et tenterons d’appréhender ce territoire. Nous observerons une partie des paysages de cette vallée depuis les infrastructures de mobilité qui la traverse (le fleuve, la route et le rail). Cette étape sert de point de départ à la réflexion suivante sur le local qui consiste à étudier le développement de la métropole de Rouen Normandie. La première étape se focalise sur la LNPN le long de la vallée de la Seine. La deuxième étape localise le territoire et développe les enjeux induits par cette implantation. Enfin, la troisième étape traduit cette conséquence sur la métropole de Rouen. Ces étapes permettent ainsi de valider ou d’invalider l’hypothèse disant que le paysage à l’échelle du grand territoire de la vallée de la Seine et de la métropole rouennaise représente un médiateur dans les arguments en faveur ou en défaveur de la mise en place de l’infrastructure de la L.N.P.N.