La place de l'écriture en éveil scientifique : Comment certains enseignants exerçant dans le cycle 4 de l'enseignement ordinaire de la Fédération Wallonie-Bruxelles perçoivent-ils et intègrent-ils l'écrit dans les activités d'éveil scientifique ? Enquête qualitative menée auprès d'enseignants du cycle 4 de l'enseignement de la Fédération Wallonie-Bruxelles
Tabar, William
Promotor(s) : Lafontaine, Dominique
Date of defense : 30-Aug-2021/7-Sep-2021 • Permalink : http://hdl.handle.net/2268.2/13458
Details
Title : | La place de l'écriture en éveil scientifique : Comment certains enseignants exerçant dans le cycle 4 de l'enseignement ordinaire de la Fédération Wallonie-Bruxelles perçoivent-ils et intègrent-ils l'écrit dans les activités d'éveil scientifique ? Enquête qualitative menée auprès d'enseignants du cycle 4 de l'enseignement de la Fédération Wallonie-Bruxelles |
Author : | Tabar, William |
Date of defense : | 30-Aug-2021/7-Sep-2021 |
Advisor(s) : | Lafontaine, Dominique |
Committee's member(s) : | Quittre, Valérie
Hindryckx, Marie-Noëlle |
Language : | French |
Number of pages : | 140 |
Keywords : | [fr] éveil scientifique [fr] sciences [fr] Quittre [fr] Lafontaine [fr] écrits [fr] écriture |
Discipline(s) : | Social & behavioral sciences, psychology > Education & instruction |
Institution(s) : | Université de Liège, Liège, Belgique |
Degree: | Master en sciences de l'éducation, à finalité spécialisée en enseignement |
Faculty: | Master thesis of the Faculté de Psychologie, Logopédie et Sciences de l’Education |
Abstract
[fr] « L’intérêt des recherches en didactique des sciences pour les pratiques d’écriture est déjà ancien en effet. Pour amener les élèves à être partie prenante dans la construction de leurs connaissances dans le domaine scientifique, il est apparu nécessaire de lier les activités pratiques et manipulatoires avec les activités langagières » (Fillon & Vérin, 2001, p.4). Depuis 1990, un certain nombre de chercheurs (francophones et anglophones) ont conduit des études dans le milieu scolaire afin de vérifier la place de l’écriture dans les apprentissages en sciences. Le bilan de ces diverses recherches est difficile à établir en raison de leur disparité et de leur nombre peu important (Slimard, 2019). Les études menées en primaire, aussi bien dans le monde francophone qu’anglo-saxon, fournissent tout de même un portrait assez décevant. L’expérience rédactionnelle en cours de sciences chez les élèves se révèle limitée. L’écriture reste souvent tributaire du langage oral et est fortement dirigée par l’enseignant. Même si les enseignants attribuent différentes fonctions aux écrits des élèves dans les apprentissages scientifiques, il apparaît qu’ils ne savent pas toujours comment les interpréter et les exploiter.
Les enseignants intègrent-ils des phases d’écriture pour faire évoluer les connaissances des élèves en éveil scientifique ? Comment procèdent-ils ? A quels moments considèrent-ils que c’est opportun de le faire ? Quels types d’écrits les élèves rédigent-ils ? Ces écrits sont-ils plutôt individuels ou collectifs ? Ces écrits permettent-ils d’amener plus facilement les élèves à échanger pour apprendre ? En outre, ces échanges permettent-ils d’améliorer la qualité de ces écrits ? Les élèves sont-ils amenés à réinvestir leurs premiers écrits pour les améliorer ? Quand et comment les enseignants les exploitent-ils ?
Dans cette perspective, 10 enseignants ont partagé avec nous la façon dont ils intègrent et exploitent les écrits en sciences. Ainsi, notre objectif n’est nullement de faire l’apologie ou le procès des pratiques enseignantes mais simplement de les analyser pour mieux les comprendre.
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