Calibration et validation d'un modèle dynamique de végétation sur une prairie suivie par la méthode de covariance de turbulence
Authelet, Valérian
Promotor(s) : François, Louis ; Hambuckers, Alain
Date of defense : 4-Sep-2024/6-Sep-2024 • Permalink : http://hdl.handle.net/2268.2/20976
Details
Title : | Calibration et validation d'un modèle dynamique de végétation sur une prairie suivie par la méthode de covariance de turbulence |
Translated title : | [fr] Calibration and validation of a dynamic vegetation model on a grassland monitored by eddy covariance |
Author : | Authelet, Valérian |
Date of defense : | 4-Sep-2024/6-Sep-2024 |
Advisor(s) : | François, Louis
Hambuckers, Alain |
Committee's member(s) : | Ghilain, Nicolas
Jonard, François |
Language : | French |
Number of pages : | 96 |
Keywords : | [fr] prairie, trait, méthode de covariance de turbulence, CARAIB, carbone. |
Discipline(s) : | Life sciences > Environmental sciences & ecology |
Target public : | Researchers Professionals of domain Student |
Institution(s) : | Université de Liège, Liège, Belgique |
Degree: | Master en sciences géographiques, orientation global change, à finalité approfondie |
Faculty: | Master thesis of the Faculté des Sciences |
Abstract
[fr] Ce travail a pour objectif de modéliser le bilan de carbone d'une prairie permanente intensivement gérée, en utilisant un modèle dynamique de végétation. Le modèle a été calibré à partir des traits moyens de cinq espèces, déterminés lors d'un suivi temporel effectué au printemps 2024. Les résultats du modèle concernant le cycle du carbone ont ensuite été comparés aux données obtenues par la méthode de covariance de turbulence pour la période 2011-2023.
Le premier objectif de ce travail est d’évaluer si les traits fonctionnels varient entre les différentes
espèces et selon les périodes d’échantillonnage. De plus, une analyse en composantes principales a permis d'identifier les corrélations entre ces traits.
L'analyse du bilan de carbone de la prairie a révélé un biais important entre les données modélisées et celles obtenues par la méthode de covariance de turbulence, probablement en raison des valeurs des traits attribuées dans le modèle. Malgré ces biais, les résultats indiquent que la prairie fonctionne globalement comme un puits de carbone sur la période étudiée, bien que, pendant certaines années, elle se soit comportée comme une source de carbone, probablement en raison de conditions météorologiques défavorables au cours de la période estivale.
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